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Affichage des articles du juillet, 2023

Si le rire m'était conté

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 Contractions de Mike Bartlett cie Métamorphoses Avec: Mariama Sylla, Marie Wyler Mise en scène et costumes: Elidan Arzoni Scénographie, création lumières et vidéo: Yann Becker Régie lumières et vidéo: Loane Ruga Couturière: Laurence Stenzin-Durieux Maquillage et coiffures: Johannita Mutter Habilleuse: Samantha Landragin Stagiaire mise en scène: Lilou Jacquet Aide auditions: Camille Édith Bouzaglo, Aurélien Boillat Diffusion: Jean-Michel Potiron Administration: Eva Kiraly Sur la scène du théâtre Caecilia, les deux comédiennes sont déjà en place lorsque le public fait son entrée. La scénographie est épurée: deux chaises et une petite table noires, un large carré de moquette grise, et surtout, un grand écran qui projettera, tout au long de la représentation, les visages de Marie Wyler et de Mariama Sylla en un champ-contrechamp rapproché. Les deux comédiennes portent un costume identique, une sorte d'ensemble jupe crayon et haut élégant, de couleur grise également. Les cheveux sont r

Présence de la mort

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Prélude et fin cie LaScam Proposition: Valério Scamuffa Création et jeu: Olga Onrubia, Barbara Schlittler et Valerio Scamuffa Participation: Éric Périat et Pierre-André Grognuz Scénographie et costumes: Sarah André et Scilla Ilardo Création lumières: Nidea Henriques Son: Dragos Tara Administration et production: Cristina Martinoni et Marie-Charlotte Winterhalter Lorsque le public entre, la salle est plongée dans une lumière douce. Dehors, il fait encore jour. Des longs rideaux de velours noir ont été tirés pour masquer la lumière extérieure. Les gradins ont été dissimulés. À la place, un cercle de chaises recouvertes de tissus bariolés est disposé sur la scène, avec au pied de nombreux coussins tout aussi colorés. Valerio Scamuffa et Olga Onrubia, les deux interprètes de la soirée, sont déjà présent.es. Valerio joue à la guitare une pièce écrite par un compositeur dont le nom m'échappe, et qui serait l'auteur de nombreux préludes. Un prélude, rappelle Valerio, c'est l'i